Un climat mal sain s'observe quotidiennement sur de nombreux arrêts de bus entre les bus de la société STPU et ceux des particuliers lors des ramassages des clients. cette situation fache des contrôleurs et chauffeurs des bus privés qui voient les clients fouir leurs bus au profit de ceux de la société STPU.
Depuis près d’un mois que les bus de la société STPU ont repris avec la circulation, des petites querelles dans les arrêts de bus entre les contrôleurs des bus privés et les receveurs des bus de la société STPU qui eux aussi ont compris et jouent aussi au métier de la criée pour indiquer les itinéraires même-ci ceux-ci sont inscrits sur le bus. Cette façon de faire met mal à l’aise les chauffeurs et contrôleurs des bus privés qui se plaignent de leurs recettes qui ont considérablement baissé.
« En réalité le nom mal à l’aise que les gens attributs aux transports de la société STPU ne les convient pas, puisque ce sont plutôt les bus privés qui sont mal à l’aise avec la reprise des bus de la société STPU », a déclaré un client en empruntant le bus de la société STPU.
Ce qui est certain, nombreux sont des conducteurs des bus privés qui voient d’un mauvais œil la reprise des activités des bus de la société STPU, car avec 150 FCFA, un passager peut aller au-delà de Mengo, donc du Kouilou au centre-ville de Pointe-Noire. Or avec les bus privés, pour cette même distance ; le client déversait près de 500 FCFA. « Nous souhaitons que la société STPU fasse une longue vie pour qu’enfin les histoires des demi-terrains disparaissent définitivement », s’est réjoui un deuxième client.
Le vrai problème, reste celui des zones qui ne sont pas encore desservies par ces bus de la société STPU par manque d’artères bitumées et cet état de chose continue de préoccuper certains habitants de la ville qui continuent d’obéir pour se déplacer aux caprices des contrôleurs et chauffeurs des bus privés. Ces caprices ne sont pas que des demi-terrains, ils augmentent parfois à leur guise le prix du siège pendant la course qui passe de 150 FCFA à 500 FCFA, à cause disent-ils du mauvais état des voies qui vont vers ces quartiers périphériques.
Notons que cette querelle est une bonne guerre et cela soulagera sans nul doute les clients qui choisiront là où les services sont mieux rendus et les dépenses minimisées.