Célébration
Le 8 mars n’est pas la fête du pagne !
Même si elle a longtemps été associée au port du pagne en Afrique et au Congo, la journée des droits des femmes semble tourner le dos à son contexte originel pour se consacrer davantage au plaisir. Désormais ancrée comme symbole de la célébration du 8 mars, la course aux pagnes imprimés, bien que naturelle dans le corpus de la femme congolaise, paraît cependant phagocyter les esprits même les plus éclairés pour dévier les véritables enjeux de la journée solennelle.
8 mars
Andrey Zita Mitata : « La femme congolaise a aujourd’hui les mêmes droits que l’homme »
La secrétaire permanente du conseil consultatif de la femme, Andrey Zita Mitata, est optimiste sur la volonté des pouvoirs publics à respecter les engagements pris sur le plan national, sous-régional et international dans la politique de lutte contre les inégalités du genre. « La femme congolaise a aujourd’hui les mêmes droits que l’homme, la loi garantit la parité et assure la promotion ainsi que la représentativité de la femme à toutes les fonctions politiques, électives, administratives », souligne-t-elle.
Verbatim
Si j’étais un homme
À l’occasion de la Journée internationale de la femme, la question a été posée « Et si vous étiez un homme ? » Les réponses ont fusé entre sérieux, humour et provocation. Morceaux choisis des propos tenus par des femmes d’horizons divers.
Société
Tradition et parité : cas de la gestion d’un foyer
La séparation des tâches dans un foyer reste très sexuée. En politique comme à la maison, la parité hommes-femmes demeure encore un sujet mitigé. L’égalité dans la sphère domestique est loin d’être atteinte alors qu’elle progresse dans l’univers professionnel. Malgré les avancées en la matière, le poids des traditions pèse toujours sur la balance.
Sommaire
Regard d’Afrique : une belle façon de faire vibrer le féminisme
Métiers : Parfaite Louhou, coiffeuse des hommes
Ces femmes qui alimentent Brazzaville en légumes