Selon Natacha Aminata, libre penseuse, « Le piédestal d’une nation repose sur son éducation civique et morale », sur le respect dont elle fait montre en général…
Il est des mots comme « Respect », « Discipline » ou « Effort » qui portent une connotation négative parce qu’ils supposent une certaine souffrance, un certain déplaisir. Pourtant, leur importance reste capitale dans le rapport à soi qu’aux autres et pour de plus grandes édifications comme celle d’une nation.
En effet, le respect se montre avant tout comme une nécessité : nécessité pour avancer, pour rendre fluides les interactions sociales et pour être dans la productivité.
Si les règles, les lois et les codes régissent la vie en commun, seule leur observance apporte l’harmonie recherchée. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, les bases que l’on doit avoir acquises depuis tout-petits sont les mêmes qui nous conduiront toute la vie : respect de sa santé, bonne hygiène de vie, respect de son apparence, langage et attitude vertueux. La capacité à la socialisation une fois acquise, l’on veille alors au respect de l’autre, de son espace personnel. On reconnaît ce qui est à soi et respecte ce qui est à autrui.
Naturellement vient le respect des institutions, de la chose commune puis relativement aux circonstances : respect des engagements, de la parole donnée, des principes et des objectifs personnels ou partagés avec les autres. Pour peu, à l’échelle des nations, certains pays se distinguent des autres sur la base du respect aux multiples facettes énoncées et non-exhaustives.