Le temps d’une conférence, les représentants de la Société immobilière Afrobock et de sa filiale Eurobock répondent aux interrogations de la communauté immobilière de la diaspora constituée les acquéreurs de parcelles au PK45 dans le district d’Ignié près de Brazzaville
En présence de Georges Ballay, Promoteur immobilier et Directeur Général d’Afrobock, initiateur du projet relatif à l’accès à la propriété en faveur des Congolais de l’étranger désireux de trouver un pied à terre dans leur pays d’origine, samedi 27 mai dernier, dans la Salle Cool & Workers de Neuilly-sur-Seine, une conférence interactive a permis de répondre aux interrogations de l’assistance venue en nombre.
Telle une communauté désireuse de vivre en harmonie, un des organisateurs de la conférence, Guy-Armand Mokodzi s’est chargé de passer en revue le vécu et, surtout, de rassurer la communauté en rappelant que l’objectif demeure la facilitation à l’accès de l’immobilier en fournissant aux membres, de l’amont à l’aval, les informations adaptées et efficaces, susceptibles de fonder leurs décisions.
« Veiller à mettre au même niveau d’information tous les membres afin qu’ils se sentent bien et inclus dans la communauté immobilière de circonstance ».
À cette occasion, il a rappelé que depuis le lancement de ce projet, Afrobock s’occupe des démarches administratives, foncières et environnementales pour les acquéreurs de cette communauté repartie à travers 5 000 hectares de terrain mis à disposition par Afrobock depuis deux décennies au carrefour de trois axes routiers à savoir : Brazzaville vers le Nord / Brazzaville-Pointe Noire et l’axe routier en projet, Brazzaville-Kinshasa.
Le bilan d’étape, en appui des diapositives, était de démontrer également que pour les acquéreurs déjà propriétaires, à propos des travaux de construction, Afrobock apporte l’expertise nécessaire avec ses équipes d’ingénieurs, géomètres, topographes, urbanistes, architectes et tous les professionnels du bâtiment expérimentés.
Tout en respectant les normes environnementales en vigueur, l’heure est à présent aux constructions selon les ébauches respectives de plans en fonction du genre de construction envisagée : F1-F2-F3-F4 ou R1 et autres dans le cadre de la création d’un quartier moderne et intégré.
En revanche, Afrobock a décliné la demande de financement souhaitée par les acquéreurs. Car, a estimé Guy-Armand Mokodzi, cette compétence relève des banques de la place au Congo. D’où son appel aux autorités de compétentes de permettre aux Congolais de l’étranger d’avoir des facilités aux crédits relatifs à l’habitat.
À l’issue de la conférence, un sondage réalisé auprès des participants a donné un taux de 52 % de personnes satisfaites.
Une satisfaction partagée par deux jeunes sœurs nées en France, 23 et 26 ans, Franco-congolaises. Elles sont déjà propriétaires de terrains au PK45.
Satisfaites et fière d’avoir une maison au Congo, elles sont exprimées de manière unanime en ces termes : « Par ce projet novateur, nous sommes devenues propriétaires d’un lopin de terre en saisissant cette occasion pour réaliser notre projet d’avoir une maison au Congo…Avec cette acquisition, nous affirmons notre appartenance et gardons ainsi un lien fort avec la famille là-bas dans notre pays d’origine ».