Au cours d'une récente sortie médiatique, le 1er vice-président du comité national olympique et sportif congolais (Cnosc), André Blaise Bollé a invité les différentes parties prenantes au calme et à privilégier l'intérêt général. Après l'annulation de l'assemblée générale élective du mois de septembre dernier ayant conduit à la réélection du président sortant de la Fédération Congolaise de handball ( Fecohand) Ayessa Ndinga Yengué, par la Chambre conciliation et d'arbitrage de sport (Ccas), il a été enjoint au Cnosc de mettre en place une commission électorale afin de préparer puis organiser les élections.
Si certains acteurs du handball estiment que le Cnosc devrait travailler sans pression selon son agenda, d'autres pensent que les choses doivent bouger afin de mettre un terme à l'incompréhension et la confusion qui règnent depuis quelque temps.
C'est ainsi que André Blaise Bollé a rappelé au nom du garant du mouvement olympique que la sentence de la Ccas, il n'avait pas été imparti un délai. « Cette sentence de la Ccas avait renvoyé devant la commission éthique du Cnosc, un dirigeant. Nous attendions le rapport qui a été déposé à peine hier. Nous avons demandé à ce que tout le monde se calme. Nous allons mettre en place cette commission électorale », a rassuré André Blaise Bollé.
A en croire certaines indiscrétions, le Cnosc a transmis ce rapport à la Confédération Africaine de handball (Cahb). Si celle-ci le valide, la Fecohand traversera encore une zone de turbulences à cause des décisions qui en découdra puisque la commission électorale pourrait être dirigé par les instances faîtière du handball au niveau africain et international avec un représentant du ministère des Sports et du Cnosc. Cela trouvera l’assentiment de tout le monde ?
Wait and see.