La culture populaire utilise souvent le terme d’ange de la mort. Une entité qui donnerait la mort en touchant de ses doigts ses futures victimes. Il suffirait parfois de son passage dans un endroit pour que derrière lui les pleurs se déclarent, les âmes se détachent de leurs corps.
Il fût un temps où en Égypte, des fléaux étaient abattus sur l'empire alors prospère parce que Pharaon avait refusé de laisser partir le peuple d'Israël qui y était alors réduit en esclavage.
Un code fut alors donné à toutes les naissances juives. Un symbole à mettre sur la transversale de sa porte afin que l'ange de la mort n'entre pas dans la maison.
Nous avons parfois l'impression de vivre une époque similaire. Une époque où il se vit dehors un combat tel qu'il faudrait signer sa porte. L'on a l'impression que les anges de la mort ont été déployés à Paris en 2024 et que maintenant il faut simplement avoir signé sa porte.
L'Occident n'est peut-être pas le centre du monde mais il l'influence énormément. Le devenir des enfants est hypothéqué, la connaissance de leur identité est compromise et la mort est donnée aux plus faibles.
Signons nos portes, nous sommes certainement à la fin des temps, à la fin d'un cycle.