Département Niari : ,,,,,,,,,sss oeuvre pour la valorisation de deux sites du patrimoine

Mercredi, Août 27, 2025 - 15:30

Département Niari : ,,,,,,,,,sss oeuvre pour la valorisation de deux sites du patrimoine  

Conscient du potentiel  de son département et animé du désir de contribuer au développement du tourisme dans le Niari, ,,,,,,,,,,,,, directeur départemental  du patrimoine  œuvre depuis un certain temps avec son équipe, pour la valorisation du site de l’Arbre de De Brazza  Situé à Dolisie sur la national N 1 baptisé récemment Espace du Prince et la chute de Sochi qui se trouve dans le district de Louvakou. Deux susceptibles d’apporter  une plu value à l’économie  du Niari et partant du pays  mais dont ladite valorisation nécessite  d’autres compétences et des moyens conséquents.

Département Niari : ,,,,,,,,,sss oeuvre pour la valorisation de deux sites du patrimoine  

Conscient du potentiel  de son département et animé du désir de contribuer au développement du tourisme dans le Niari, ,,,,,,,,,,,,, directeur départemental  du patrimoine  œuvre depuis un certain temps avec son équipe, pour la valorisation du site de l’Arbre de De Brazza  Situé à Dolisie sur la national N 1 baptisé récemment Espace du Prince et la chute de Sochi qui se trouve dans le district de Louvakou. Deux susceptibles d’apporter  une plu value à l’économie  du Niari et partant du pays  mais dont ladite valorisation nécessite  d’autres compétences et des moyens conséquents.

D’entrée de jeu, le directeur départemental du Niari déplorant le fait qu’au Congo l’on n’a pas encore compris l’importance de la création de la direction générale du patrimoine, a voulu d’abord ressortir la nuance entre le patrimoine et le tourisme et les liens étroits qui unis ces deux compartiments différents mais qui doivent travailler ensemble. «Il n’y a pas de patrimoine sans Tourisme. Les gens pensent qu’ils peuvent développer le tourisme sans le patrimoine, c’est impossible. Ce sont deux compartiments différents mais pour arriver au tourisme il faut obligatoirement passer par le patrimoine  parce que la valorisation des sites du patrimoine ce n’est pas le tourisme qui le fait mais c’est le patrimoine. Et il existe une procédure que seuls les conservateurs du patrimoine connaissent. Si vous ne la respecter pas vous allez bricoler une valorisation qui n’aura pas d’impact», a expliqué le DD.

Pour une meilleure compréhension il a aussi relevé la différence entre un site du patrimoine (qui est un site culturel ou naturel  mais qui n’est pas valoriser et qui est géré par la direction générale du patrimoine) et le site touristique qui est un site valorisé et géré par la direction général du tourisme. «Le patrimoine fait le travail de base, le travail essentiel de la valorisation d’un site, une fois que le patrimoine a fini l’ouvrage est remis au tourisme pour exploitation mais dans la procedure. Il n’a pas de tourisme sans le patrimoine. Les sites que nous avons, comme les gorges de Diosso par exemple, ce n’est pas un site touristique, c’est un site du patrimoine. Il deviendra un site touristique lorsqu’on  va le valoriser. Et il y a une série de procédures à respecter».

Et pour ce qui est des deux sites que la direction départementale du patrimoine entend valoriser, le premier c’est la chute d’eau de  Sochi  située dans le district de Louvakou localité proche de la frontière avec le Cabinda qu’on avait commencé à valoriser en 2018 sur initiative du ministère du tourisme et des loisirs qui a construit un très beau gite moderne à cette époque. Mais la procédure s’est arrêtée en cours de route et le site n’est pas toujours valorisé et manque de voie d’accès en bonne et due forme et de plan de fonctionnement, et la gestion est faite de façon artisanale. «Nous œuvrons pour mettre la forme juridique», a indiqué le DD.

Le second site c’est la place de l’arbre de De Brazza, baptisé Espace du Prince, que l’association Bana Dol a pris l’initiative de valoriser. Une bonne chose mais qui s’est faite sans respect des procédures.  Les experts du patrimoine n’ayant pas été impliqués, tout le travail de valorisation du site n’a pas été fait en amont. « Si Nous le prenons maintenant, nous ne spas le gérer parce que cela nécessite une inscription budgétaire de l’Etat qui fonctionne sur la base de son budget. On a embellie le lieu, construit un mur pour le protéger mais on l’a pas vraiment valorisé. Ce qui reste à faire est plus cher que ce que Bana Dol a fait. Voilà pourquoi il faut mettre la forme, qui est plus importante et cela est du ressort du patrimoine, avant de remettre au tourisme. C’est sur cette base que le site va commencer à produire et l’argent généré ne va pas dans les caisses du patrimoine ni du tourisme mais sera versé au trésor pour être calculé et comptabilisé comme étant la contribution de la culture».

Par ailleurs, le DD a déploré le fait que leurs moyens soient limités pour pouvoir faire le travail comme il se doit. On peut rattraper certaines choses pour y remédier et c’est ce que nous sommes en train de faire. Nous sommes en train d’élaborer le plan de gestion. Nous faisons avec les moyens de bord et  sommes obligés de procéder comme on le fait actuellement pour donner juste la forme. Mais s’il y avait plus de moyens on appelait ceux qui peuvent apporter leur contribution, on appelait toutes les compétences nécessaires.

Pour le DD, valoriser un site ce n’est pas seulement construire un mur parce que quand les touristes viennent ils doivent avoir des informations sur le lieu, il faut leur expliquer son histoire, son importance, l’importance des éléments qui s’y trouvent tel le Baobab pour le cas de la place du prince, les inscriptions qu’ils portent, qui en sont les auteurs, d’où sont-ils venus, que sont-ils devenus. et il faut des guides avec un bon niveau parce que c’est un métier du patrimoine et il faut vendre le site. La valorisation demande plus de détails. Tout cela se fait avant de remettre l’ouvrage au ministère du tourisme. On comprend bien que le patrimoine et le tourisme sont deux compartiments différents mais amis qui doivent travailler ensemble.

 

Valorisation du patrimoine: Le DD souhaite l’existence d’un cadre juridique au Congo

Le ddd patrimoine de ce département a émis ce souhait, le < ;;;;;; au cours d’un entretien avec Les Dépêches de Brazzaville portant sur la valorisation en cours de certains sites du Niari ; Il a aussi profité de rappeler les différentes étapes  des procédues de la valorisation du patrimoine souvent non respecter au Congo. *

Engagé depuis quelques temps dans des procédures de valorisation deux sites du département du Niari, notamment les sites de la chute de Sochi situé dans le district de Louvakou et de la place de De De Brazza baptisé la place du Prince à Dolisie, le DD  peut-être considéré comme un héros dans l’ombre pour avoir œuvrer dans plusieurs projets culturels du pays comme le Fespam ( Festival panafricain des musiques) et l’inscription de la rumba congolaise sur la liste du patrimoine international de l’Unesco. 

La valorisation demande ou prend plus de détails, et il faut des guides avec un bon niveau parce que c’est un métier du patrimoine et il faut vendre le site, tout cela se fait avant de remettre l’ouvrage au ministère du tourisme. Le patrimoine et le tourisme sont deux compartiments différents amis qui doivent travailler ensemble.

Il ont eu l’initiative de le valoriser mais si nous le prenons maintenenat , nous ne sauront pas le gerer parce que cela necessite une inscription budgetaire de l’Etat qui fonctionne sur la base de son budget. alors que si ont nous avait consulté avant nous devrions faire qu’il y ait  une inscription budgetaire  ce qui n’a pas été fait ; cette place serait dejà un site touristique le probleme c’est on a tout raté le début. Les procedures n’ont pas été suivies on peut rattraper certaines choses pour y remedier et c’est ce que nous sommes en train de faire ? Nous sommes en train d’élaborer le plan de gestion alors que s’il yaavait les moyens on pouvait appelé toutes les competences necessaires ùais on est 

 

Prenant le cas de Bana Dol qui ont pris l’initiative de valoriser l’espace baptiser le Prince, c’est une bonne chose mais ne s’est pas fait comme il se doit, cela s’est fait sans l’implication des experts du patrimoine. Valoriser un site ce n’est pas seulement construire un mur parce que qu’on les touristes viennent ils doivent avoir des informations sur le site il faut savoir quoi leur dire, leur expliquer l’histoire du site, son importance, l’importance des éléments qui s’y trouve tel  le Baobab pour le cas de la place du prince, les inscriptions qu’ils portent, qui en sont les auteurs, d’où sont-ils venus

La valorisation demande ou prend plus de détails, et il faut des guides avec un bon niveau parce que c’est un metier du patrimoine et il faut vendre le site, tout cela se fait avant de remettre l’ouvrage au ministère du tourisme.

Nous avons un potentiel touristique, il faut connaitre l’importance ces sites , sa valeur patrimoniale, son histoire, son apport économique

 

Les etapes pour valoriser un site

Dans la procedure il faut commencer par l’inventaire, il faut inventorier le site , apres il fautl’inscrire sur la liste du patrimoine national. Ce n’est qu’apres avoir  evaluer la valeur patrimoniale du site qu’on peut monter un projet de valorisation . Et dans le projet de valorisation il ya pas que les experts du aptrimoine eux il managent le projet. Cela fait appel à plusieurs competences ( arhitectes, urbanistes, affaires foncieres, finances, meme la communication) parce que losqu’on monte les document il faut une strategie de communication elaboreée par des experts de la communication.

Le aptrimoine et toursime sont deux compatiments differenst amis qui doivent travailler ensembles ? La preuve est qu’on a besoin d’autres competences, aussi lorqu’on est en train de valoriser un site pour le mettre en exploitation il faut un care juridique de ce site, il faut un decret portant création attribution et organisation d’un tel site touristqiue. Mais avant que le decret soit prit il faut un plan de gestion elaboré par les expertsentenant comptes des réalités  avec l’implication des parties prenantes et les communautés riveraines et déterminer la clé de répartition ; mais au Congo les choses ne se font comme cela ;

Et lorsqu’on veut valoriser un site, prenant le cas des gorges de Diosso, peut-être qu’il a des association qui œuvre pour leur promotion lorsqu’on va élaborer le plan de gestion il faut les prendre en ligne de compte, prendre en ligne de compte les avis des communauté riveraine  et savoir comment se feront les répartition lorsqu’il  y aura des entrées, regarder qu’est-ce qu’on peut faire, quel projet réaliser pour le bien des communautés avec la partie qui leur revient, on ne donne pas de l’argent à la communauté mais on réalises des projets pour elles, Hors les choses ne se font pas de cette manière dans notre pays.

obligé de proceder comme  on le fait actuellement avec les moyens de bord pour donner juste la forme , mais il y avait plus de mùoyen on appelait ceux qui pouvait apporter leur contribution

La valorisation d’un projet peu etre fait l’Etat, une association cimme bana dol, une fondation, une agence de tourisme ou de voyage, mais il faut un cadre juridique que tout le monde doit suivre, chez nous cela n’existe pas nous n’avons pas un cadre juridique pour la valorisation des sites ici au Congo

Un cadre juridique elaborer par les experts du ministère du patrimoine ou proposé par un tiers et peaufiner par les experts

 

 

Bana Dol

 

 

 

 

 

Pourquoi  les arts et les lettres ne décollent pas au Congo

Prenons le cas du Fespam, initier pour contribuer au développement des arts en général et de la musique en particulier en Afriqe centrale avec un budget de 4 milliards

 

 

 

 

La venue du Messie , la lumière a resplendit, il donne la veritable paix qui vient de l’obessance à Dieu ? Marie prie pour nous.

Demander Par l’intercession de la très sainte vierge Marie la paix

Le 22 aout  journée en Mémoire de la bienheureuse marie reine de la paix

Priere et jeune pour la paix et la justice et que cesse les larmes de ceux qui souffrent des les pays en guerre et des maux de toutes sortes

Jésus fils de marie exauce nous « Rien n’est impossible a Dieu, a dit l’ange Gabriel a Marie »

 

Dans notre pays on continue de confondre le journalisme et la communication bien qu’ils aient le meme sous bassement, les deux ont des missions differentes . On peut prendre un cabinet de communication par exemple ; on peut avoir un tres beau dossier amis qu’on ne peut pas bien diffuser parce qu’on ne connait pas les canaux de diffusionpour que cela ait de la valeur au niveau international ;

Au niveau national cela pose moins de probleme mais au niveau international il faut savoir par ou entrer. Le processus d’inscription d’un bien commence par le patrimoine qui sait appeler les competences necessaires ? pour le cas de la Rumba par exemple, les premieres competences ce sont les praticiens de la Rumba qui nesont pas que les musiciens mais aussi les danseurs, les comités de soutien, les auteurs compositeurs, les editeurs, les arrangeurs, les chroniqueurs culturels ?

Avant d’inscrire un patrimoine il faut aussi savoir qu’est ce que les artistes , l’Eta et les communautés gagnet ? et ce sont les patriciens qui donnent leur accord selon la convention de 2023. Mais ce n’est pas ce qui a été fait ?

Le DD initiateur du dossier de la rumba

Ancien ;

Nous avions fait une recommendation au cours d’une édition du FEspam pour inscrire la rumba, le dossier était gardé dans les tiroirs et lors d’une autre édition je tombe sur cette recommandation  et avec l’accord de mon directeur ou sur instruction de mon DG Nous avons monté un comité de pilotage. L’équipe qui nous a succedeé ayant échos de cela a poursuivi le processus ? avec l’impulsion du ministre dieudonné mouyongo qui a fait aoutir le processus .

Depuis l’inscription de la rumba, ce que nous deplorons aujourd’hui c’est qu’il ya aucune incidence financière, il n’ y a aucune inscription budgetaire. L’Etat a prit des engagements . ce  n’est le ministere de la culture qui a inscrit la rumab, mais c’et l’Etat congolais amis les engagements ne sont pas respectés ; que ce soit en Republique du Congo que ce soit en RDC.

 

Lucie Prisca Condhet N’Zinga
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