Le directeur départemental de la police au Kouilou et à Pointe-Noire, Gaëtan Victor Oborabassi, a rencontré, le 29 juillet, la sixième compagnie du sous-groupement mobile de la police au camp de police du quartier Mengo situé dans le quatrième arrondissement, Loandjili
Cette rencontre est la première du genre depuis l’arrivée à Pointe-Noire de ce sous-groupement mobile.
Trois points essentiels ont marqué l’adresse du directeur départemental de la police au Kouilou et à Pointe-Noire : la présentation de l’environnement, la situation sécuritaire et les consignes particulières.
Gaëtan Victor Oborabassi a indiqué aux policiers évoluant au sein de cette unité de police les dispositions à prendre dans les départements de Pointe-Noire et du Kouilou.
« Le département de Pointe-Noire est, certes, un havre de paix, mais il connaît aussi l’affairisme, la circulation de la fausse monnaie, la prostitution, le proxénétisme, les litiges fonciers et autres », a-t-il déclaré.
Plusieurs autres préoccupations liées à la sécurité publique dans les deux départements ont été aussi abordées comme la porosité des frontières responsable de l’immigration clandestine, le trafic illicite, la vente et la commercialisation de stupéfiants.
« Le groupement mobile de la police est une unité spéciale d’élite : les policiers de ce groupement doivent avoir une attitude d’élite. Ils constituent une réserve opérationnelle mise à la disposition de la direction départementale de la police du Kouilou et de Pointe-Noire », a-t-il conclu.
La fin de cette rencontre a été marquée par un apéritif offert pour la circonstance.