L'événement s'est tenu, les 26 et 27 janvier derniers, à l'Institut supérieur de gestion et de commerce (ISGC).
Durant deux jours, la manifestation, organisée par le club « les Etoiles », a accueilli les experts et les participants qui ont travaillé pour promouvoir les talents, créer des opportunités ainsi que pour développer les compétences nécessaires à la réalisation des projets de la femme congolaise, en France et au Congo.
L’ensemble des participants s’accorde sur le fait que le réseau, thème de la première édition, demeure la principale base de collaboration dans leur entrepreneuriat et la vie associative des femmes. Pour les organisatrices, « c’est la création d’un cercle efficace qui se complète, chacune arrivant avec ses lacunes et s’enrichissant progressivement des expériences des unes et des autres ».
Pour chaque thème abordé, que ce soit le développement personnel, rédiger son CV / sa lettre de motivation, acquérir les fondamentaux du marketing digital ou assurer son projet, les tables rondes ont permis des approches concrètes de faisabilité. « Une session où j’ai perçu la force de ces femmes porteuses de projets avec une réelle motivation de les concrétiser afin que le rêve devienne réalité », s’est réjouie une des intervenantes.
A l’issue de cette édition, les organisatrices se sont montrées satisfaites. « Nous tenons à remercier les intervenants et les participants pour la qualité des travaux obtenus durant ces deux journées enrichissantes à l’ISG »., ont-elles déclaré, estimant que l’objectif affiché était la découverte de talents et parcours atypiques ainsi que la rencontre de femmes au potentiel exceptionnel.
Le club « les Etoiles » compte sur la dynamique qu’il maintient autour de ses membres pour entretenir et solidifier son réseau. « Notre rôle est d’avoir des projets à réaliser pour le bien-être dans notre pays d’accueil, en gardant la priorité absolue sur les enjeux contemporains du développement de notre pays d’origine où nous souhaitons participer aux défis socio-économiques et climatiques », s’accordent-elles à rappeler.