La composition du staff technique des Diables rouges A’ est au cœur de toutes les conversations. Et il ne se passe pas un jour sans qu’une nouvelle polémique ne soit créée de toute pièce par ceux qui semblent vouloir se substituer à la Fédération congolaise de football (Fécofoot) pour décider à sa place.
Mais à y regarder de plus près l’argument invoqué selon lequel « on ne change pas l’équipe qui gagne » pour justifier le maintien d’ un coach ayant qualifié la sélection , révèle à l’évidence la volonté de tirer profit de la qualification à la phase finale du Championnat d’Afrique des nations (Chan). En réalité il n’y a plus de débats quant au choix des techniciens en tenant compte de tous les états d’âmes passés par les Diables rouges locaux avant la décision définitive.
A vrai dire la qualification à la phase finale d’une compétition ne garantit pas toujours la continuité du sélectionneur. Attendu que l’on ne peut pas juger un entraîneur uniquement sur une simple double confrontation. Il n’y a donc pas lieu de se plaindre hautement d’une injustice car si l’on revient en arrière on constate que la Fécofoot n'a fait que confirmer le duo qu’elle avait ch retenu avant la crise.
Aujourd’hui les nouveaux critères tels que définis par la Confédération africaine de football (CAF) plaident en faveur des deux techniciens. En plus de remplir avec son adjoint les conditions exigées par l’instance du football africain pour s'asseoir sur le banc pendant le Chan : la licence A CAF, l’actuel sélectionneur connaît bien la compétition pour avoir réussi à qualifier le Congo à trois phases finales sur les cinq participations que comptent actuellement notre pays .
L’heure n’est plus à ce faux débat qui consiste à monter les entraîneurs les uns contre les autres mais plutôt à penser comment créer les conditions devant assurer une bonne préparation à nos Diables rouges
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