Il est des moments de la vie qui laissent des traces indélébiles. L'année 2025 a été de toutes les contritions.
À l'international, la crainte d'une escalade générale a été réelle et nul ne sait encore à quoi s'en tenir au regard de la poursuite du conflit en Ukraine, des tensions dans le Pacifique entre les États-Unis et le Venezuela, de la relation conflictuelle sur fond de guerre économique entre Washington et Beijing, de la presque guerre oubliée de Gaza, de l'absence de paix à l'est de la République démocratique du Congo, des morts en série à la frontière vietnamo-thaïlandaise.
Au plan intérieur, 2025 a été une année de grèves. Du fait des difficultés de l'Etat à apurer les arriérés de salaires dus aux agents de certaines entités relevant de sa tutelle (université, hôpitaux, municipalités), la morosité est demeurée frappante. Le secteur privé n'a pas été épargné non plus. Le moi étant haïssable, passons. Non sans formuler pour l'an 2026, année électorale, le vœu de voir la situation évoluer positivement pour chacun et pour tous.
Souvent les grandes difficultés précèdent les bonnes solutions. Espérons !