Réactions positives de la plupart des dirigeants à travers le monde suite à l'élection, le 8 mai, du nouveau pape à Rome en Italie. La date est d’autant plus emblématique qu'elle renvoie à la célébration du 80ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cette hystérie collective qui emporta pas moins de 60 millions de vies entre 1939 et 1945.
Même si les presque 8 milliards de terriens ne fréquentent pas tous l'église catholique, l'influence du souverain pontife sur les affaires du monde est symboliquement forte. Il est couronné dans un moment où les États et blocs d'États, puis la société humaine tout particulièrement semblent orphelins d'un médiateur de poids ; un homme au-dessus de la mêlée. Pour toutes ces raisons, le cardinal Robert Francis Prévost, le désormais pape Léon XIV, est le bienvenu.
Devant le nouvel élu du Vatican se dressent non seulement le 1, 406 milliard de fidèles catholiques. Bien sûr ces derniers attendent de leur chef une prise en charge spirituelle pour redonner espoir à une communauté religieuse minée ces dernières années par des scandales en tous genres (corruption, pédophilie) qui en fragilisent les fondements. Mais les défis de Léon XIV sont aussi de faire se rapprocher les nations, les puissances économiques, sociales, culturelles et politiques.
Ceci, afin que les inégalités, les injustices, les dérives, les tyrannies et les guerres qui continuent de freiner à plus d’un titre l’atteinte des objectifs de développement durable s’arrêtent. L’on espère tout au moins que les nombreux décideurs, qui ont promptement salué le couronnement du nouveau pape lui tendront une bonne oreille. Ce qui relèverait en effet d’un miracle au regard du raidissement de la scène internationale de nos jours mais les miracles viennent peut-être du ciel par le biais de bons hommes de Dieu que distinguent leurs œuvres.
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